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Atteintes multiples des nerfs crâniens - 17/01/12

[17-086-B-10]  - Doi : 10.1016/S0246-0378(12)58198-4 
F. Viader a,  : Professeur des Universités-praticien hospitalier, L. Carluer a : Praticien hospitalier, V. de la Sayette a : Praticien hospitalier, F. le Doze b : Praticien hospitalier, A.-L. Bonnet b : Interne
a Service de neurologie, Inserm U923, Centre hospitalier universitaire de Caen, avenue de la Côte de Nacre, 14033 Caen cedex 9, France 
b Service de neurologie, Centre hospitalier universitaire de Caen, avenue de la Côte-de-Nacre, 14033 Caen cedex 9, France 

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Résumé

Les paralysies multiples des nerfs crâniens représentent un problème diagnostique traditionnellement difficile, du fait de la multiplicité des étiologies possibles. La première préoccupation est de déterminer si l'atteinte est intra- ou extra-axiale. La réponse repose sur la clinique et l'imagerie par résonance magnétique (IRM) ou, à défaut, le scanner. En l'absence de signes d'atteinte du système nerveux central, il faut donner la priorité à la recherche d'une lésion localisée de la base du crâne, en particulier néoplasique, surtout en cas d'atteinte unilatérale. L'examen du liquide cérébrospinal (LCS) est alors un utile complément, même si l'imagerie reste prioritaire. Celle-ci nécessite un soin particulier, tant dans la réalisation que dans l'interprétation, et il faut savoir la répéter si elle est négative. L'IRM garde la première place, mais le scanner, et même les radiographies, conservent tout leur intérêt pour l'étude des lésions osseuses de la base du crâne. Lorsque la recherche soigneuse d'une lésion focale a été infructueuse ou d'emblée si le contexte est évocateur, il convient de s'orienter vers une autre pathologie, par exemple infectieuse, inflammatoire, vasculaire ou dégénérative. La première préoccupation du clinicien doit être alors, devant le grand nombre des causes possibles, de ne pas méconnaître une étiologie curable.

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Mots clés : Nerfs crâniens, Syndrome de Garcin, Syndrome de Tolosa-Hunt, Ophtalmoplégie, Paralysie faciale, Méningite chronique, Méningite carcinomateuse, Syndrome de Miller-Fisher


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