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Revue des Maladies Respiratoires

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La pollution atmosphérique et ses effets sur la santé respiratoire : les experts du groupe PAPPEI répondent au Bureau de la SPLF - 12/11/19

Outdoor pollution and its effects on respiratory health: PAPPEI Expert Report to the SPLF Office

Doi : 10.1016/j.rmr.2019.10.005 
O. Brun a, D. Caillaud b, D. Charpin c, J.-C. Dalphin d, ⁎
a Centre de pneumologie et d’allergologie respiratoire, centre hospitalier de Perpignan, 3, avenue Henri-Ribère, 66000 Perpignan, France 
b Service de pneumologie, CHU Clermont-Ferrand, INRA, université Clermont Auvergne, 58, rue Montalembert, 63000 Clermont-Ferrand, France 
c Unité de pneumologie, Groupe hospitalier de la Timone, Aix-Marseille université et Association pour la prévention de la pollution atmosphérique, boulevard Jean-Moulin, 13005 Marseille, France 
d Service de pneumologie, CHU de Besançon, UMR CNRS 6249 Chrono-environnement, université de Franche-Comté, 3, boulevard Alexandre-Fleming, 25000 Besançon, France 

⁎Auteur correspondant.
Le texte complet de cet article est disponible en PDF.
Sous presse. Épreuves corrigées par l'auteur. Disponible en ligne depuis le Tuesday 12 November 2019
Cet article a été publié dans un numéro de la revue, cliquez ici pour y accéder
Le texte complet de cet article est disponible en PDF.

Plan

A-t-on une idée de l’impact en termes d’émissions polluantes des transports aériens et maritimes ? Par rapport aux transports routiers , à l’échelle de la planète et en France
Dans le chapitre sur les effets à long terme de la pollution, il est parlé de polluants émergents, qui n’ont pas été décrits auparavant. Quelles en sont les sources ?
Le diesel est-il vraiment moins bon pour la respiration que l’essence ?
La combustion de diesel émet-elle réellement moins de CO2 (gaz à effet de serre) que l’essence ?
L’agriculture « bio » : est-ce mieux pour lutter contre la pollution (de l’air et générale) ?
Concernant les PM2,5 marqueurs, pourquoi existe-t-il une différence entre les émissions, qui baissent fortement en France depuis 30 ans, et les taux mesurés, qui baissent beaucoup moins (et pourraient même être stables dans certaines grandes villes) ?
Quelles sont les explications physiopathologiques de l’impact de la pollution sur le risque de cancer bronchique ?
Quel est l’impact réel de l’ozone sur la santé respiratoire ?
Quel est l’impact respectif des différentes composantes de la pollution (particules, particules fines, oxydes d’azote, ozone…) sur la santé respiratoire et cardio-vasculaire ?
Quel est l’impact réel du réchauffement climatique sur la santé, notamment respiratoire ?
Le chiffre de 48000 décès prématurés liés à la pollution est avancé. Cela correspond à un excès de mortalité comparé à un scénario théorique « utopique » d’absence de pollution anthropique. Le calcul pour les communes les moins polluées fait état de 34500 décès évitables. Comment ces calculs sont-ils effectués ?
La pollution extérieure, notamment les pics, est responsable d’exacerbation d’asthme, voire d’incidence accrue de la maladie. Est-ce le cas également de la BPCO ?
Les plantes d’intérieur sont-elles bonnes pour protéger ma santé ?
Puis-je courir (ou faire du vélo) sans risque pour mes poumons en toute occasion dans une grande ville ?
Est-ce que les masques anti-pollution peuvent être utiles pour se protéger ?
Concernant les conseils à donner aux patients : quels modes de transport choisir ? Quels masques choisir ?
Déclaration de liens d’intérêts

© 2019  Publié par Elsevier Masson SAS.
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