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La fatigue : quel impact sur la réhabilitation ? - 23/11/10

Doi : 10.1016/S1877-1203(10)70150-6 
B. Wuyam 1, P. Labeix 2, , F. Costes 2
1 Laboratoire de Recherche Exercice-Santé (REX-S), Université Joseph Fourier, CHU Grenoble, France 
2 Laboratoire de Physiologie de l’Exercice, CHU Saint-Etienne, Université Jean Monnet de Saint-Etienne, France 

Correspondance.

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Résumé

La fatigue ressentie, exprimée de façon subjective par les patients, peut-elle être diminuée par la réhabilitation à l’effort ? La mesure de la fatigue musculaire périphérique induite par l’effort est complexe car elle est associée à une augmentation de la commande motrice centrale. À court terme, on peut différencier les patients « non fatigueurs » des « fatigueurs » qui on une sensation de fatigue accrue sans modification significative de leur dyspnée. À long terme, il faut s’appuyer sur le principe de surcompensation pour organiser les séances. Il faut en effet une certaine quantité de fatigue, suivie d’un temps de récupération optimal, pour conduire à une amélioration des capacités physiques.

Le texte complet de cet article est disponible en PDF.

Mots-clés : BPCO, Fatigue, Réhabilitation, Surcompensation


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© 2010  SPLF. Edité par Elsevier Masson SAS. Tous droits réservés. Publié par Elsevier Masson SAS. Tous droits réservés.
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Vol 2 - N° 6

P. 579-583 - novembre 2010 Retour au numéro
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