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Réponse retardée lors d’une exposition aux allergènes dans la chambre d’exposition environnementale (CEE) ALYATEC : différence entre les acariens et le chat - 29/12/18

Doi : 10.1016/j.rmr.2018.10.160 
A. Gherasim 1, , N. Beck 1, A. Jacob 1, F. Schoettel 1, N. Domis 1, F. De Blay 2
1 ALYATEC, Strasbourg, France 
2 Hôpital universitaire de Strasbourg, Strasbourg, France 

Auteur correspondant.

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Resumen

Introduction

Il a été démontré lors de tests de provocation bronchique individuels que la réponse asthmatique retardée (RR) était plus fréquente avec l’allergène d’acarien qu’avec l’allergène de chat. Notre objectif était de comparer la réponse bronchique avec ces 2 allergènes dans la CEE d’Alyatec, Strasbourg.

Méthode

Vingt-quatre sujets asthmatiques allergiques aux acariens ont été comparés à 21 sujets asthmatiques allergiques au chat (GINA 1), avec ou sans rhino-conjonctivite. Les sujets présentaient des prick-testsmm et des IgE spécifiques0,70KU/L et avaient un test de provocation à la métacholine positif. La dose choisie pour l’allergène d’acarien et de chat correspondait à la concentration d’allergène induisant le plus de réponses immédiates (RI) et retardées (RR).

Résultats

La fréquence d’apparition de la RR avec l’allergène d’acariens était de 74 et 36,36 % avec l’allergène de chat. Avec les allergènes d’acarien, la fréquence de la RI était de 87 %, pour RI ou RR 100 % et pour RI et RR de 58 %. En revanche, avec l’allergène de chat, 50 % des patients avaient une RI, 59,1 % une RI ou RR et 13,6 % une RI et une RR. Aucune différence significative n’a été observée entre l’allergène de chat et d’acarien en ce qui concerne la sévérité et le temps nécessaire pour obtenir une RI et une RR.

Conclusion

Nos résultats confirment ceux obtenus lors de tests de provocation individuels. En effet, dans la CEE ALYATEC, la fréquence de la RR chez les asthmatiques allergiques aux acariens était plus élevée que chez les allergiques au chat. L’asthme allergique aux acariens semble être un meilleur modèle d’étude de la physiopathologie et du traitement de l’asthme.

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© 2018  Publicado por Elsevier Masson SAS.
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Vol 36 - N° S

P. A83 - janvier 2019 Regresar al número
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