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Évaluation en routine clinique de la persistance du traitement de fond inhalé de longue durée d’action chez les patients atteints de BPCO au Royaume-Uni - 09/01/24

Doi : 10.1016/j.rmra.2023.11.407 
M. Delubac 1, , K.J. Rothnie 2, R.P. Wood 3, B. Numbere 2, M. Seif 3, G. Requena 2, C. Diomatari 3, E.C. Goodall 2, S.G. Noorduyn 2, C. Cooper 3, R. Sharma 4, C. Compton 4, A.S. Ismaila 5, 6
1 Département Médical Respiratoire, GSK, Rueil-Malmaison, France 
2 Value Evidence and Outcomes, R&D Global Medical, GSK, Brentford, Middlesex, Royaume-Uni 
3 Real-world Evidence, Adelphi Real World, Bollington, Cheshire, Royaume-Uni 
4 Global Medical, GSK, Brentford, Middlesex, Royaume-Uni 
5 Value Evidence and Outcomes, R&D Global Medical, GSK, Collegeville, PA, États-Unis 
6 Department of Health Research Methods, Evidence and Impact, McMaster University, Hamilton, ON, Canada 

Auteur correspondant.

Resumen

Introduction

Bien que de précédentes études aient montré des persistances comparables pour les différents traitements, elles ont toutes utilisé des critères d’inclusion restrictifs. Cette étude vise à décrire dans une population plus large et plus généralisable et en routine clinique la persistance des traitements inhalés à action prolongée utilisés en tant que traitement de fond chez les patients atteints de BPCO au Royaume-Uni.

Méthodes

Il s’agit d’une étude de cohorte rétrospective utilisant les données de soins primaires et secondaires du Royaume-Uni. Ces données proviennent de patients âgés d’au moins 35 ans et plus, diagnostiqués BPCO, avec des antécédents de tabagisme et ayant initié un traitement de fond à action prolongée entre novembre 2017 et septembre 2019. Les thérapies indexées étaient les antagonistes muscariniques à longue durée d’action (LAMA), les corticostéroïdes inhalés (CSI)/agonistes β2 à longue durée d’action (LABA) en association fixe ou libre, les associations fixes ou libres LAMA/LABA, les associations triples fixes ou libres (SITT). Pour les patients qui changent de thérapies, seul le traitement en cours a été pris en compte. La persistance a été évaluée après un suivi minimum de 6 mois en utilisant l’estimateur de Kaplan–Meier. Une interruption dans le traitement est définie par un écart supérieur à 60 jours entre deux prescriptions.

Résultats

Au total, 74 147 patients ont été inclus. Le Tableau 1 montre la médiane des persistances.

Conclusion

La persistance fut meilleure pour les associations fixes avec deux bronchodilatateurs que pour les associations libres, la meilleure persistance étant observée pour les SITT.

Étude 218530 déjà présentée à l’ERS 2023 et financée par GSK.

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© 2023  Publicado por Elsevier Masson SAS.
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Vol 16 - N° 1

P. 199 - janvier 2024 Regresar al número
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