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Prévalence de mutations identifiées dans les suspicions de formes génétiques de fibroses - 20/12/14

Doi : 10.1016/j.rmr.2014.11.054 
L. Tabeze 1, R. Borie 1, V. Cottin 2, N. Nathan 3, H. Nunes 4, J.M. Naccache 5, D. Valeyre 4, J. Cadranel 5, S. Amselem 6, A. Tazi 7, D. Israel-Biet 8, S. Marchand-Adam 9, G. Prevot 10, M. Reynaud Gaubert 11, A. Clement 3, J.F. Cordier 2, B. Crestani 1, C. Kannengiesser 12
1 Hôpital Bichat, Paris, France 
2 Hôpital Louis-Pradel, Lyon, France 
3 Hôpital Trousseau, Paris, France 
4 Hôpital Avicenne, Bobigny, France 
5 Hôpital Tenon, Paris, France 
6 Génétique, hôpital Trousseau, Paris, France 
7 Hôpital Saint-Louis, Paris, France 
8 Hôpital Pompidou, Paris, France 
9 CHRU de Tours, Tours, France 
10 Hôpital Larrey, Toulouse, France 
11 Hôpital Nord, Marseille, France 
12 Génétique, hôpital Bichat, Paris, France 

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Resumen

Introduction

La recherche d’une anomalie génétique responsable d’une fibrose pulmonaire est envisagée dans différentes situations : plusieurs cas familiaux définissant une fibrose pulmonaire familiale ; diagnostic avant 50ans ; présence d’anomalies extra-respiratoires évoquant une téloméropathie (hépatiques, hématologiques). L’objectif de cette étude était de caractériser la fréquence des mutations des complexes télomérase et surfactant dans ces contextes.

Méthodes

Nous avons analysé les résultats des recherches de mutations TERT et TERC, SFTPC, ABCA3, réalisées dans les laboratoires de génétique de Trousseau et Bichat.

Résultats

Au total, 331 patients (âge moyen : 62,4ans), dont 225 hommes (68 %), issus de 304 familles ont été étudiés. Il s’agissait d’une fibrose familiale dans 165 cas (54 %). Une mutation de TERT a été détectée chez 37 des 304 cas-index issus de familles différentes (soit 12 %), une mutation de TERC dans 5 cas (1,6 %), et 9 patients présentaient un variant de TERT de signification inconnue (3 %). Parmi les fibroses familiales, 28 (17 %) présentaient une mutation de TERT ou TERC, 3 présentaient un variant de signification indéterminée. Pour les autres patients (atteinte personnelle ou familiale évoquant un téloméropathie, ou âge<50ans) la prévalence des mutations était plus faible : 10,8 % (15 sur 139, p=0,12). Par ailleurs, 6 des 79 patients testés, présentaient une mutation sur une des protéines du surfactant : ABCA3 (n=3), SFTPC (n=3).

Conclusion

La prévalence des mutations TERT et TERC dans cette cohorte française est identique à celle de la littérature. Des analyses complémentaires sont en cours pour affiner les critères justifiant une analyse génétique.

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© 2014  Publicado por Elsevier Masson SAS.
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Vol 32 - N° S

P. A19 - janvier 2015 Regresar al número
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