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Cancer bronchique non à petites cellules localement avancé : quand et comment intégrer chimiothérapie et radiothérapie ? - 09/01/16

Doi : 10.1016/S1877-1203(16)30022-2 
P. Fournel a, , A. Swalduz a, B. Mery a, R. Rivoirard b, G. Moriceau a, N. Magne b
a Département d’oncologie médicale, institut de cancérologie Lucien-Neuwirth, 108 bis, avenue Albert-Raimond, 42271 Saint-Priest-en-Jarez, France 
b Département de radiothérapie, institut de cancérologie Lucien-Neuwirth, 108 bis, avenue Albert-Raimond, 42271 Saint-Priest-en-Jarez, France 

* Auteur correspondant Auteur correspondant

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Résumé

Malgré des progrès thérapeutiques ces dernières années, le pronostic des cancers bronchiques non à petites cellules (CBNPC) localement avancés reste mauvais avec des taux de survie à 5 ans entre 15 à 20 %. Actuellement, le traitement de référence est l’association concomitante de la chimiothérapie à la radiothérapie. Ce traitement n’est possible que chez des patients en bon état général, de Performance Status (PS) 0 ou 1, présentant peu ou pas de comorbidités et souvent d’âge inférieur à 70 ans. La chimiothérapie doit âtre administrée à doses cytotoxiques et comporter un sel de platine. De nombreuses questions restent débattues : le choix de la chimiothérapie associée à la radiothérapie, l’intérât d’une chimiothérapie d’induction ou de consolidation, les modalités de la radiothérapie en termes de dose, de fractionnement, l’intégration des thérapeutiques ciblées en particulier des inhibiteurs du récepteur de l’Epidermal Growth Factor (EGFR). L’amélioration des résultats dans les essais cliniques récents semble âtre en partie liée à une meilleure sélection des patients grâce à l’optimisation de l’imagerie diagnostique. Les nouvelles modalités de radiothérapie devraient permettre d’améliorer les résultats notamment en termes de contrôle local. De mâme l’arrivée de nouvelles voies thérapeutiques telles que l’immunothérapie risque de modifier la prise en charge de ces patients.

El texto completo de este artículo está disponible en PDF.

Abstract

Despite progress in therapeutic strategies, overall survival of stage III non-small cell lung cancer (NSCLC) is poor. Currently, the standard treatment of unresectable locally advanced NSCLC is concurrent chemoradiotherapy. This strategy is probably beneficial for patients in good performance status, without important co-morbidities and often younger than 70 years. Platinum-based chemotherapy should be administered at cytotoxic doses. Many questions remain debated: The choice of chemotherapy regimen, the benefit of induction and consolidation chemotherapy is not proven, the modalities of radiation in terms of doses, fractionation and the integration of targeted therapies, particularly EGFR inhibitors. The improved results in recent clinical trials appear to be partly linked to better patient selection through optimization of diagnostic imaging. The new radiation modalities should improve results especially in terms of local control. Similarly, the arrival of new therapeutic approaches such as immunotherapy may change the management of these patients.

El texto completo de este artículo está disponible en PDF.

Mots Clés : Cancer bronchique non à petites cellules, Stade III, Radiothérapie, Chimiothérapie, Thérapeutiques ciblées

Keywords : Non-small cell lung cancer, Stage III, Chemotherapy, Radiotherapy, Targeted therapies


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Vol 7 - N° 4

P. 387-397 - novembre 2015 Regresar al número
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