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Discordances entre symptômes et perception de la sévérité chez les patients atteints de BPCO : données françaises dans l’enquête internationale « Continuing to confront COPD » - 20/12/14

Doi : 10.1016/j.rmr.2014.10.057 
N. Roche 1, R. Ajjouri 2, A. Compagnon 2, T. Van Den Molen 3, H. Mullerova 4
1 Service de pneumologie, hôpital Cochin, Paris, France 
2 GSK, Marly-Le-Roi, France 
3 University medical centre Groningen, Groningen, Pays-Bas 
4 GSK, Stockley Park, Royaume-Uni 

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Resumen

Il existe peu de données sur la perception qu’ont les patients BPCO de leur maladie. Une enquête a été menée de janvier à mai 2013 dans 12 pays dont la France, auprès d’un échantillon représentatif de foyers. L’objectif était de décrire les caractéristiques, symptômes, perceptions, croyances et comportements chez les plus de 40ans rapportant un diagnostic de BPCO, d’emphysème, de bronchite chronique (BC) ou des symptômes de BC, qui ont été traités pour ces symptômes ou qui en souffrent actuellement. En France, sur 300 personnes interviewées par téléphone répondant à la définition de patients BPCO, 38 % avaient un diagnostic confirmé de BPCO et 61 % présentaient des symptômes de BC. Parmi les interviewés, 44 % avaient plus de 70ans, 48 % étaient des hommes, 33 % étaient fumeurs et 39 % anciens fumeurs et 45 % étaient en surpoids. Pour 43 %, la maladie avait un impact important ou très important (CAT>20) sur leur santé, 70 % reportaient une dyspnée (mMRC1) et 65 % une limitation d’au moins 20 % de leurs activités quotidiennes. Pourtant, 80 % considéraient avoir seulement une maladie de sévérité légère ou modérée. Le nombre moyen d’exacerbations traitées était de 2 par an et 15 % des patients avaient été hospitalisés pour leur BPCO dans l’année écoulée. Cette enquête montre que les interviewés déclarant des symptômes de BPCO, sous-estiment l’impact de leur maladie qui, malgré un niveau élevé de symptômes, un mauvais état de santé et des exacerbations fréquentes n’est pas considérée comme grave.

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© 2014  Publicado por Elsevier Masson SAS.
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Vol 32 - N° S

P. A40-A41 - janvier 2015 Regresar al número
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